Dans un monde calme où l’Homme n’avait pas encore ouvert les yeux, le soleil resplendissant posant son reflet sur cette mer vivante au rythme des pluies et des orages.
On voyait aussi le jeune printemps, couronné de fleurs nouvelles, l’été nu, portant des guirlandes d’hortensia, l’automne, encore tout barbouille des raisins qu’il a foulé et le glacial hiver aux cheveux blancs tous hérissés de glaçons.
Toute cette végétation vivante à l’allure des saisons, se métamorphosant pour ne faire qu’un avec son environnement comme les fleurs épousent la rosée du matin.
Quand l’Homme fut son apparition, il dû survivre à tous les dangers auxquels il était confronté, il dû s’adapter et évoluer pour faire sa place dans ce monde plein de diversité. Jusqu’au jour où cet Homme fut assez nombreux et intelligent pour pouvoir comprendre et mettre en sa faveur les failles de la nature.
Il créa sa propre communauté et fit de la terre son terrain de jeu où le mot « survivre » n’existe plus que pour les espèces inférieures à la sienne.
La civilisation ne connaissant plus aucune limite poussant l’urbanisme à atteindre les cieux, coupant les racines des espaces sauvages et naturels pour en faire des vastes culture afin d’alimenter l’ensemble de son peuple grandissant.
Mais l’humanité sur cette terre où elle avait été implantée veut toujours prouver plus que ce que cette atmosphère miraculeuse lui offre.
Après avoir compris les éléments qui l’entourent et découvert l’entièretée de ce monde, le contrôle que l’Homme souhaite ne s’arrête pas là. Courant à sa perte par son évolution ne cessant d’avancer, va le pousser à commettre l’irréparable.
Les bouleversements météorologiques ne font que s’accroître, faisant monter les eaux transformant totalement la silhouette de la terre bleu.
Dans un futur aussi lointain que son passé où les pôles deviennent des montagnes et où la mer remplace les campagnes.